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Chiffres-clé général

La demande en éducation est de plus en plus forte, que ce soit au niveau primaire, secondaire ou supérieur.

• 11,57% accroissement de la population scolarisable dans le primaire entre 2010 et 2014 ;
• 13,72% accroissement de la population scolarisable dans le secondaire entre 2010 et 2014 ;
• 12,47% accroissement de la population scolarisable dans le Supérieur entre 2010 et 2014 ;
• 15% de dépenses publiques de l’Etat en 2018 sont consacrées à l’Education nationale (Supérieur, Secondaire, Primaire);
• 23% des étudiants à orienter vers l’enseignement technique et professionnel qui débouche directement sur un emploi.
•Taux d'alphabétisation des jeunes (15-24 ans) (%), 2008-2012, hommes : 85.4;
•Taux d'alphabétisation des jeunes (15-24 ans) (%), 2008-2012, femmes : 76.4;
•Nombre pour 100 personnes, 2012, téléphones portables : 64;
•Nombre pour 100 personnes, 2012, utilisation d'Internet : 5.7;

Références
[1]Annuaire Statistique du Cameroun 2014.
[2]MINESUP, MINESEC, MINEDUB, 2018.
[3]Cameroon Tribune n° 11676/7875 -44e année, mardi 11 septembre 2018, pp.2-6.

Chiffres-clé Enseignement Supérieur

• 12,47% accroissement de la population scolarisable dans le Supérieur entre 2010 et 2014 ;
A – Les structures opérationnelles et acteurs

• 520 000 effectif des étudiants dans les universités publiques et privées pour l’année académique 2017/2018 (contre 248296 en 2014 dont 209000 étudiants pour les universités d’Etat et 39296 étudiants pour les universités privées et des IPES) ;
• 08 nombre des universités d’Etat (Bamenda, Buea, Douala, Dschang, Maroua, Ngaoundéré, Yaoundé I et Yaoundé II);
• 05 nombre des universités privées (Université Catholique de Yaoundé, Université Catholique de Douala, Université Adventiste de Yaoundé, Université Adventiste de Nanga Eboko, …) ;
• 230 nombre des IPES (Instituts Privés de l’Enseignement Supérieur) en 2018;
• 4 établissements sous tutelle académique du MINESUP (ENSPT, ENSTP, INJS, ANAFOOT)
• 5 incubateurs d’entreprises (FASA, ENSPY, ESSEC, SS et St Jérôme Polytechnique de Douala);
• 2 Campus numériques (Douala et Ngaoundéré) ;
• Ecoles doctorales (dans toutes les universités d’Etat) ;
• 4518 enseignants (contre 4081 enseignants en 2014) : Professeurs, Maîtres de Conférences, Chargés de Cours, Assistants ;
• 92 Attachés d’enseignement et de recherche (ATER) et moniteurs ;
• 380 technologues habilités à dispenser des enseignements technologiques et professionnels (HDTP) ;
• 4293 personnels d’appui ;

B – Les compétences offertes au système productif

• Ingénierie polytechnique, scientifique et numérique (14 établissements publics et 24 privés. 5000 ingénieurs et 4800 techniciens supérieurs formés par an) ;
• Ingénierie minière et extractive (5 établissements publics et un institut privé, 300 diplômés/an) ;
• Ingénierie agricole, pastorale, halieutique, sylvicole, environnementale (3 établissements publics et 4 institut privés, 270 diplômés/an) ;
• Ingénierie économique et des affaires (10 établissements publics et 115 privés, 15500 diplômés/an) ;
• Ingénierie juridique, politique et administrative (4 établissements ; 2 filières publiques ; 20 instituts privés, 4900 diplômés/an) ;
• Formation médicale (humaine et vétérinaire), pharmaceutique, buco-dentaire, médico-sanitaire et biomédicale (6 établissements publiocs (4 facultés et 2 filières) et 44 instituts privés, 500 médecins, 150 pharmaciens, 150 médecins dentistes, 5000 bio-médicaux et médicaux-sanitaires/an) ;
• Ingénierie communicationnelle (3 établissements publics ; 6 établissements privés, 600 diplômés/an) ;

C- Les facilités spéciales offertes par les Pouvoirs Publics

• Allocation spéciale pour la modernisation de la recherche universitaire en faveur de tous les enseignants-chercheurs des universités d’Etat ;
• Primes à l’excellence académique pour les étudiants les plus méritants (universités publiques et privées) ;
• Statut particulier pour les personnels d’appui des universités d’Etat ;
• Subvention d’investissement et de fonctionnement pour les universités d’Etat ;
• 500000 ordinateurs, don de soutien aux étudiants des universités d’Etat, privées et des IPES.

Chiffres-clé Enseignement Secondaire

• 13,72% accroissement de la population scolarisable dans le secondaire entre 2010 et 2014;
• 56,19% taux de réussite national aux examens en 2017/2018 (contre 43,34% en 2016/2017);
• 2 800 076 effectif d’élèves en 2014;
• 96304 effectif d’enseignants (général et technique, francophone et anglophone) en 2014;
• 3590 établissements en 2014;
• 38 060 salles de classe en 2014;
• Participation à l'école secondaire, Taux net de scolarisation (%), 2008-2012, garçons : 44.2;
• Participation à l'école secondaire, Taux net de scolarisation (%), 2008-2012, filles : 38.7;

Chiffres-clé Enseignement Primaire et Maternelle

• 11,57% accroissement de la population scolarisable dans le primaire entre 2010 et 2014 ;
• 4346811 élèves dans le primaire et la maternelle en 2017/2018 (dont 3126487 élèves dans les écoles publiques soit 71,92% et 1220324 élèves dans les écoles privées soit 28,08%), contre 4136912 élèves en 2014 ;
• 119828 effectif des maîtres en 2017/2018 (général et technique, francophone et anglophone);
• 83,77% taux de réussite au CEP (Certificat d’Etudes Primaires) en 2018;
• 92,57% taux de réussite au FSLC (First School Leaving Certificate) en 2018 ;
• 85,22% taux de réussite au CEE (Common Entrance Examination) en 2018 ;
• 4 milliards de francs CFA transférés aux Collectivités Territoriales Décentralisées au titre du paquet minimum 2018/2019 ;
• 15 770 877 000 de francs CFA transférés aux Collectivités Territoriales Décentralisées pour la construction 847 salles de classe 2017/2018;
• 97333 effectif des maîtres en 2017 (général et technique, francophone et anglophone), contre 94328 en 2014 ;
• 3501 nombre des écoles maternelles et primaires publiques créées de 2011 à 2017 (dont 1617 écoles maternelles et 1884 écoles primaires) ;
• 37,5% taux brut de scolarisation au niveau maternel 2016/2017;
•Participation au pré-primaire, Taux brut de scolarisation (%), 2008-2012, garçons : 29.6;
•Participation au pré-primaire, Taux brut de scolarisation (%), 2008-2012, filles : 30.4;
•Participation à l'école primaire, Taux brut de scolarisation (%), 2008-2012, garçons : 127.8;
•Participation à l'école primaire, Taux brut de scolarisation (%), 2008-2012, filles : 110.9;
•Participation à l'école primaire, Taux net de scolarisation (%), 2008-2012, garçons : 99.6;
•Participation à l'école primaire, Taux net de scolarisation (%), 2008-2012, filles : 87.4;
•Participation à l'école primaire, Taux net de fréquentation (%), 2008-2012, garçons : 87.3;
•Participation à l'école primaire, Taux net de fréquentation (%), 2008-2012, filles : 82.3;

Chiffres-clé Formation Professionnelle

La professionnalisation a connu un grand bon avec l’offre institutionnelle variée des Pouvoirs Publics.

• 23% des étudiants à orienter vers l’enseignement technique et professionnel qui débouche directement sur un emploi ;
• Une cinquantaine d’établissements de formation professionnelle relève des universités d’Etat ;
• Faculté de génie Industriel (FGI) de Douala ;
• Faculté des Mines et des Industries Pétrolières (FMIP) à Ngaoundéré et à Maroua ;
• Ecole Nationale Supérieure des Sciences Agro-industrielles (ENSAI) à Ngaoundéré;
• Ecole de Géologie et d’Exploitation Minière (EGEM) de Meiganga ;
• Ecole Supérieure de Médecine Vétérinaire (ESMV) de Ngaoundéré ;
• Ecole de Génie Chimique et des Industries Minérales (EGCIM) ;
• Institut Universitaire des Technologies du Bois (IUT-Bois) ;
• Faculté d’Agronomie et des Sciences Agricoles (FASA) à Dschang ;
• Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales (FMSB) ;
• Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ESSTIC) ;
• Institut des Sciences Halieutique (ISH) ;
• Faculty of Engineering and Technology (FET) ;
• Higher Institute of Transport and Logistics (HITL);
• Etc.

Chiffres-clé Centres de Recherche

Chiffres-clé Laboratoires

Chiffres-clé Pépinières et Incubateurs

Ce sont des laboratoires de formation à l’auto emploi

• 6 incubateurs d’entreprises (FASA, ENSPY, ESSEC, ENSPM, St Jérôme Polytechnique de Douala, SUP'PTIC, IAI Centre Technologique Paul BIYA) ;

Chiffres-clé Veille juridique

Réflexion

« Ce n’est pas par la force qu’on obtient de grands résultats, c’est par la persévérance »
Samuel Johnson
1708-1784

Conception

L’aventure est consacrée aux données, c’est une passion. Passion parce que nous sommes convaincus que la maîtrise des données urbaines peut apporter à la gestion chaotique des villes, la vision d’ensemble et la transversalité qui font actuellement défaut. La donnée apportera l’innovation, la transparence et l’économie.

Nos valeurs

Un travail collaboratif permet de tirer le meilleur parti de toutes les compétences disponibles et des meilleures pratiques. En se mettant en réseau, en coopérant, les acteurs urbains peuvent coproduire la ville et améliorer les conditions de vie des populations.

Recherche

Les données sont là, éclatées dans les systèmes d’information urbains monolithiques et par conséquent difficiles d’accès. Notre ambition est de capitaliser les connaissances sur le milieu urbain à travers une plateforme de gestion collaborative de données pour aider les différents acteurs urbains à relever les défis croissants en matière de données (maîtrise, exploitation, analyse, interprétation, ouverture, partage, réutilisation, hétérogénéité, qualité, volume, etc.) et pour développer une connaissance approfondie du secteur permettant d’avoir une vision commune et transversale du développement urbain.

Questionnement

Les questions relatives à « la crise des zones urbaines » dans les pays en voie de développement, notamment le Cameroun, ne sont pas nouvelles. Elles interpellent tous les acteurs impliqués dans la gestion et la planification urbaine, qu’ils soient publics ou privés.

  • Comment éviter aux acteurs urbains actuels et potentiels de refaire la même chose, de chercher à collecter des informations qui existent par ailleurs ?
  • Comment valoriser les données urbaines ?
  • How to create new (urban) value-added services?
  • Comment tirer meilleur parti du patrimoine informationnel urbain à l’heure du numérique ?
  • Comment accélérer, faire bouger les lignes des plans stratégiques et redéfinir les obligations des différents acteurs urbains afin de combattre le désordre actuel ?
  • Comment mieux planifier le développement urbain et diffuser de nouvelles normes d’aménagement censées mieux organiser les villes ?
  • Comment mener des projets urbains de qualité, aux meilleurs coûts en répondant aux besoins des habitants ?
  • Comment les villes peuvent-elles tirer profit du processus d’urbanisation pour renforcer développement et contribuer d’avantage à l’économie nationale ?

Témoignages

C.L.W – Yaoundé 27/04/2021 

L’ouvrage «Développement et aménagement urbains au Cameroun : de l’urbanisation au sens propre à l’urbanisation des systèmes d’information» du Pr Adolphe Ayissi Eteme est une production monumentale du point de vue du volume et innovante, s’agissant de la thématique : agrégation et gestion des données pour l’avènement des villes intelligentes. On se réjouit que votre expertise propose des solutions logicielles pour la prise en charge correcte des défis de l’urbanisation galopante et de l’explosion démographique qui en est la cause et la conséquence à la fois. Je souhaite à cet ouvrage une belle carrière, puisque le développement urbain et l’économie numérique sont, opportunément, au cœur de l’agenda national.

YAOUNDE - 30/11/2020 

YUSIIP est une solution innovante qui permet d’utiliser l’ouverture des données comme levier de partage d’informations pour valoriser un territoire. .



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