Bassin du Congo, pour une meilleure conservation de la biodiversité du deuxième poumon forestier du monde

Le café scientifique tenu récemment à Yaoundé par l’Association de journalistes et communicateurs scientifiques du Cameroun et Réseau des médias africains pour la promotion de la santé et de l’environnement (Remapsen) a mis l’accent sur les i concernant les closes de la Cop 29. De cette rencontre scientifique sous le thème : « Bilan de la Cop 29 du Baku et l’initiative du financement forestier à haute intégrité dans le Bassin du Congo », en est sorties trois principales revendications :

Les résultats obtenus par les pays africains à Baku en Azerbaïdjan lors de la Cop tenu en 2024 sont beaucoup mitigés. Ceci dit, les objectifs n’ont été atteints pour l’Afrique en général et le Cameroun en particulier ;
Le marché du carbone manque d’écho bénéfice, création des emplois, le développement sain pour les populations ;
Les pays africains sont allés à Baku pour finir les protocoles de la mobilisation des fonds pour les pertes et dommages relatifs à l’article 8 des accords de Paris de 2015.

En somme, les résultats qui ressortent du café scientifique organisé à Yaoundé sont tels que, la participation des pays africains aux différents rendez-vous climatiques internationaux n’a pas servi à grand-chose. Les réunions se suivent mais pas de financements.